2006 – Une vision symbolique d’une réalité intérieure : l’abandon des repères visuels
Après quelques tableaux de style impressionniste, j’ai poursuivi ma pratique dans une approche plus symbolique. Il ne s’agissait plus de représenter une réalité visible, mais plutôt de traduire des états d’âme intérieurs. L’hiver, avec son immobilité imposée, m’a offert un contexte propice à cette introspection.
J’ai alors commencé à peindre des paysages ressentis, imaginés de manière intuitive. Un chemin sinueux revenait souvent, comme un fil conducteur à travers l’espace, serpentant vers un horizon incertain. Un arbre, seul, enraciné, se dressait au centre de nombreuses compositions. Ces éléments s’imposaient à moi, comme des images primordiales issues d’un besoin profond de sens.
À cette époque, je signais toujours mes œuvres : Marie.
Je continuais également à fabriquer moi-même mes supports.
Je continuais également à fabriquer moi-même mes supports.


En 2006, j’ai exploré divers formats de tableaux en créant des faux-cadres sur mesure. L’une de ces œuvres, une peinture sur drap au format allongé, a été vendue cette même année.

En 2006, j’ai exploré divers formats de tableaux en créant des faux-cadres sur mesure. L’une de ces œuvres, une peinture sur drap au format allongé, a été vendue cette même année.

La recherche de son chemin, de sa voie, au retour de voyage. 2007. La solitude. -Détruite

Explorations de couleurs, 2007. -Détruite.







