Stratégies concrètes pour libérer l’élan intérieur, retrouver l’accès au possible… et créer avec sens.
Pourquoi débloquer ?
Dans un monde en mutation rapide, la créativité n’est plus un luxe ni un talent réservé à quelques-uns.
C’est une compétence fondamentale. Une voie d’expression, d’adaptation, de transformation — personnelle et organisationnelle.
C’est une compétence fondamentale. Une voie d’expression, d’adaptation, de transformation — personnelle et organisationnelle.
Mais cette créativité est souvent bloquée.
Par des peurs. Par des croyances. Par des environnements stériles ou trop contrôlés.
Par des peurs. Par des croyances. Par des environnements stériles ou trop contrôlés.
Débloquer le potentiel créatif, c’est retrouver l’accès à l’élan vital.
C’est aussi permettre à une organisation de respirer, de s’ouvrir, d’évoluer.
C’est aussi permettre à une organisation de respirer, de s’ouvrir, d’évoluer.
Stratégie 1 : Recréer un équilibre Yin-Yang
Dans notre approche, la créativité se nourrit de l’interaction entre deux pôles :
Le Yin : l’intuition, la réceptivité, l’imaginaire, le silence, l’attente.
Le Yang : l’action, la structuration, la décision, l’expression vers l’extérieur.
Quand le Yang domine (pression, performance, rationalité), le Yin se referme — et la créativité s’assèche.
Débloquer, c’est donc restaurer l’équilibre :
-Créer des espaces d’exploration sans attentes
-Autoriser l’erreur, le non-savoir, le vide
-Ralentir pour mieux capter l’émergence
Stratégie 2 : S’appuyer sur l’art entrepreneurial
C’est la stratégie phare du Centre.
Elle est née de ma propre démarche artistique — et elle peut s’adapter à tous les domaines.
Elle est née de ma propre démarche artistique — et elle peut s’adapter à tous les domaines.
Qu’est-ce que l’art entrepreneurial ?
C’est un processus structurant, mais profondément vivant, pour :
-libérer l’élan créatif
-explorer un geste artistique incarné
-faire le pont entre expression personnelle et impact dans le monde
Il s’agit d’un parcours en 9 étapes, inspiré de la peinture, mais transposable à toutes les formes d’expression : musique (jam), théâtre (impro), danse (contact improvisation), photo, écriture…
Les 9 étapes de l’art entrepreneurial
L’intention profonde
Créer quelque chose qu’on aime, dont on est fier. S’engager à exister à travers un geste sincère.
Créer quelque chose qu’on aime, dont on est fier. S’engager à exister à travers un geste sincère.
L’audace de se lancer
Faire un premier pas, même maladroit. Entrer dans l’inconnu avec courage.
Faire un premier pas, même maladroit. Entrer dans l’inconnu avec courage.
Le passage par le vide
Se libérer des modèles extérieurs. Créer à partir d’un espace ouvert, intérieur.
Se libérer des modèles extérieurs. Créer à partir d’un espace ouvert, intérieur.
L’exploration intuitive de la matière
Entrer en dialogue avec la matière. Laisser émerger une affinité naturelle avec des formes, des couleurs, des textures.
Entrer en dialogue avec la matière. Laisser émerger une affinité naturelle avec des formes, des couleurs, des textures.
Le processus d’essai-erreur
Naviguer à travers les ajustements, les résistances. Apprendre de ce qui bloque.
Naviguer à travers les ajustements, les résistances. Apprendre de ce qui bloque.
Le regard réflexif
Observer sa démarche, mettre des mots. Comprendre ce qui nous rend unique.
Observer sa démarche, mettre des mots. Comprendre ce qui nous rend unique.
Le dévoilement au monde
Oser rendre visible ce qu’on crée. Même imparfait. Même fragile.
Oser rendre visible ce qu’on crée. Même imparfait. Même fragile.
La persévérance dans la mise en relation
Continuer à partager, à ajuster, à rencontrer son public ou sa niche.
Continuer à partager, à ajuster, à rencontrer son public ou sa niche.
La reconnaissance financière
Quand l’œuvre touche, elle trouve sa place. La reconnaissance, parfois monétaire, valide la valeur et l’utilité du geste.
Quand l’œuvre touche, elle trouve sa place. La reconnaissance, parfois monétaire, valide la valeur et l’utilité du geste.
Ce processus est aussi une stratégie de transformation
Il agit à plusieurs niveaux :
Individuel : il redonne accès à une part souvent oubliée de soi.
Organisationnel : il réintroduit du vivant, du sens, du souffle.
Sociétal : il remet en lien l’art, l’humain et l’économie.
Et si les entreprises devenaient des lieux d’art ?
Aujourd’hui, dans plusieurs grandes entreprises (Air France, Google, LVMH…), des artistes en résidence apportent leur vision, leur démarche, leur sensibilité.
Moi, je crois que l’art entrepreneurial peut devenir une stratégie organisationnelle.
Pourquoi ?
-Parce qu’il réveille la motivation intrinsèque (comme le dit la chanson : « J’aurais voulu être un artiste… »)
-Parce qu’il reconnecte les gens à ce qu’ils ont de plus vivant
-Parce qu’il remet du sens, de la joie, de la liberté dans le cadre du travail
Et si la créativité ne restait pas un rêve de retraite,
mais devenait un levier d’épanouissement au cœur des organisations ?
mais devenait un levier d’épanouissement au cœur des organisations ?
En résumé : débloquer, c’est transformer
Débloquer le potentiel créatif, ce n’est pas ajouter un atelier de peinture à la pause-café.
C’est créer des espaces où les personnes et les équipes peuvent :
C’est créer des espaces où les personnes et les équipes peuvent :
-Penser autrement
-Se reconnecter à leur intuition
-Oser explorer l’inconnu
-Se sentir vivantes dans ce qu’elles font